Mes envies
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 mondays suck!!!

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Dreamy Girl
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MessageSujet: mondays suck!!!   mondays suck!!! Icon_minitimeSam 13 Jan - 20:05

Mais qu’c’est chiant ! Bordel qu’c’est chiant un frère jumeaux ! On ne peut rien lui cacher ! Rien ! Nada ! Même pas des pensées ! Ca lit dans votre esprit comme dans un livre ouvert…
Et ça m’énerve ! Même pas capable de lui faire la gueule plus de dix minutes…

- Allééééé ! Insista Andréas, mon imbécile de frère. S’teuplai, tu verras, ils sont cool ! bon c’est vrai, ils n’ont rien à voir avec ceux avec qui tu traines… mais…
- Dégage de ma chambre !! aboyai-je. La dernière fois que j’ai rencontré tes potes, j’ai du m’enfuir par la fenêtre tellement ils me saoulaient !!
- Je suis tout aussi dans ma chambre que toi, vu qu’on partage la même chambre !
- Rien à foutre ! tu dégages quand même… sinon… criai-je encore.
- Sinon quoi ?! tu me montres comment tu fais dégager les mecs avec qui tu couches ?! ça doit bien marcher, car tu rentres toujours toute seule a la maison ! dit-il sur un ton plus que méprisant
- Où tu veux en venir ?!!
- J’en viens à te demander ce que mon meilleur ami faisait dans ton lit hier soir ?!! répondit mon frère au bord de la crise. Bordel, Luna ! tu m’avais promis d’arrêter tes conneries ! t’es la plus belle fille de tout Berlin. Ca te sert a quoi de… de… de faire les trottoirs ?! hein ?! réponds-moi ! regarde-moi, Luna !!

Je luttais de toutes mes forces pour ne pas tomber en sanglots, la fierté avant tout ! Putain de fierté qui ne veut pas me lâcher, putain de fierté qui fait de moi une garce… putain de merde !
Andréas me prit la main, une main douce et tendre… et me regardait avec un regard trop insistant a mon gout, il attendait une réponse, mais… il pouvait toujours rêver pour en avoir une ! Je couchais avec qui je veux ! Mais je savais que sa lui faisait mal, de me voir merder, rater ma vie, gaspiller…
Ca lui faisait mal, ça continue à lui faire mal, ça continuera à lui faire mal, trop mal. Mais c’est plus fort que moi, je peux pas m’en empêcher, de continuer encore et encore mes conneries, et j’entraine mon frère dans ma merde, dans mon suicide, dans mon gâchis ! J’ai conscience que ça le tue tout autant que moi, mais je peux pas m’en empêcher, c’est comme sa, c’est moi, Luna…

Luna…

Je dois me rendre a l’évidence, celle que je ne veux pas croire, celle que je redoute… je suis une garce, une droguée, une grande fumeuse, une suicidaire… pourtant si belle, trop belle, trop riche… impertinente et sur de moi… trop a chaque fois…
Du haut de mes 18ans, j’ai déjà fait la une de plusieurs magasines de modes, participé au magasine « Play boy », touché a toutes les sortes de drogues, j’ai déjà été 2 ou 3 fois au centre de désintoxication, déjà fréquenté les plus grands, déjà plus ou moins tout fait… sauf du coté sentimental…
Je suis incapable d’aimer, de m’intéresser vraiment à quelqu’un, incapable de faire autre chose avec un mec que de coucher avec, de jouer avec, incapable de tenir une promesse ou encore de respecter quelqu’un, incapable de ne pas être égoïste…
Moi, je passe ma vie à donner des ordres aux nombreux gardes du corps qui sont à mon service, à draguer, à toujours me faire désirer, a fumer, à me droguer et a boire… à profiter, à sortir tous les soirs en boite, à faire les trottoirs… à combler un manque auquel j’ignore en quoi il consiste…
Je déteste quand on me rabaisse, toujours sexy, je n’ai nullement besoin de mettre des tenues provocantes pour me faire respecter, désirer…
C’est à ça que se résume ma vie, c’est à ça que je me résume… la fabuleuse Luna, la sœur d’Andréas, un grand blond, tout « classique », un gars au grand cœur et a la douceur d’un ourson… un mec que je ne mérite pas ! Un mec trop bon pour qu’il soit vraiment mon frère…
« Je ne le mérite pas ! Je ne le mérite pas ! Je ne le mérite pas ! Je ne le mérite pas ! … »
Cette phrase cognait dans ma pauvre tête recouverte d’une chevelure rousse, extraordinairement douce et soyeuse comme de l’ambre poli…
C’est sur ces dernières pensées sombres que je m’écroulais en sanglots dans les bras de mon frère bien aimé… mon frère qui, je le sais, sera toujours la pour moi, peut importe la connerie que j’aurais faite, car Andréas, c’est un peu comme mon ange gardien…
- tu portes trop de choses sur tes maigres épaules… me murmura-t-il en essuyant mes larmes de son pouce.
Il me déposa doucement sur le lit, me tendit ma bouteille de vodka et alluma l’ordinateur. C’est sur cet engin que mon frère passa le reste de la nuit à manigancer quelque chose. Quelques fois j’entendais des jurons, d’autre des cris de joie…
Mais j’étais loin, trop loin dans mon univers pour me soucier de ce qu’il faisait, avec ma clope et ma bouteille que je sirotais avec plaisir… plus, je sais plus trop, je pense que j’ai fini par m’endormir… je sais plus trop, et à vrai dire, j’en ai pas grand-chose à faire ! Enfin… passons, quand je me réveillai, la chambre était vide, il ne restait plus rien, que du vide…
Je lâchais un juron pas permis avant de me relever avec grande difficulté et de descendre ou plutôt, dévaler les escaliers jusqu'à la cuisine où mon frère –tout souriant- parlait vivement avec mes parents.

- c’est quoi l’embrouille ici ?! Demandai-je en passant ma main sur ma figure pour chasser les dernières traces de fatigue.
- Ah ! ce n’est pas trop tôt ! s’écria mon frère. Dépêches-toi ! ta voiture t’attend !
- C'est-à-dire ?! insistai-je.
- Aller Luna ! on n’a pas tout le temps…
- Au revoir ma chérie, profites bien ! dirent mes parents restés au pas de la porte tandis que j’entrais dans la camionnette.

Avant de refermer la portière, mon frère me lança une bouteille de martini et deux paquets de Marlboro pour le voyage. Ca m’énerve toujours quand mon frère a une idée dans la tête ! Mais, j’étais dans une voiture de luxe, avec des clopes et de l’alcool… à part m’amuser et profiter comme je le fais si bien, qu’est-ce que je pouvais faire d’autre ?

- Vincent ?
- Oui, madame ? répondit celui-ci.
- Ou allons-nous ?
- A Magdebourg, madame.
- Pourquoi y allons-nous ?
- A ce que je sache, madame. Votre frère veut vous faire changer d’environnement et d’habitudes. Il a contacté de nombreuses agences de mode et de musique et vous êtes reçue. Répondit fièrement Vincent, un de mes nombreux gardes du corps.
- Reçue ?! insistais-je.
- Je n’en sais pas plus, madame, j’en suis désolé, vraiment. C’est tout ce que votre frère m’a dit, il a dit aussi que vous vous en contenterez pour l’instant et que vous devez vous reposez et ne pas abuser sur l’alcool car vous aurez un rendez-vous aujourd’hui, j’ignore avec qui, madame.
- Bien, merci.
- C’était un pur plaisir, madame.

J’avais en tout 4 gardes du corps, un jardinier, une cuisinière, et une bonne.
Tous, avaient compris qu’ils devaient me respecter et me servir sans broncher ou alors, ils avaient une « fessée » dont ils étaient sur de s’en souvenir !

Le voyage se passa bien, j’étais comme complice avec Vincent, car c’était le seul qui ne me quittait jamais, qui savait quand je n’allais pas bien et comment me rendre le sourire, c’était comme mon meilleure amis, mon protecteur de corps et d’âme…

Quand la voiture s’arrêta, c’était devant une immense demeure, dans un beau quartier, un homme parlait avec mon frère qui s’était empressé hors de sa voiture pour lui expliquer mon retard sûrement…
J’allumai une énième cigarette pour me donner du courage et sortis de la voiture. Tout de suite, une étincelle s’alluma dans les yeux de l’homme et celui-ci s’arrêta toute de suite de parler.
Un sourire étira mes lèvres et je me mis à marcher, comme toutes bonnes garces, un pied devant l’autre, bougeant le cul, les cheveux dans le vent et la tête haute, prête à faire face.

- j’exige des explications ! Criai-je à l’ intention de mon frère. Qu’est-ce que je fous ici ?! T’as intérêt à avoir une bonne explication, parce que j’étais censée posée pour « sweet ant sexy » dans pas moins de 5 minutes !!
- c’est quoi « sweet and sexy » ? m’interrogea l’homme.
- Un magasine de mode. Et vous êtes qui vous ?!
- Ben, enchanté... répondit-il en me tendant la main, mais je ne fis qu’une grimace et aucun geste pour lui serrer la main.
- Ca ne m’avance pas beaucoup ça, Ben…
- Je suis manager dans une entreprise musicale de Berlin.
- Et ? insistai-je toujours.
- Et ?
- Qu’est-ce que vous venez faire ici, et qu’est-ce que je suis censée faire ici à la place d’être dans mon studio ?!!
- De 1 Luna, tu ne lui parles pas comme ça ! de 2, tu habites dorénavant ici et de 3, il sera ton manager, car j’ai décidé que tu allais t’investir dans quelque chose !! dit-Andréas, visiblement agacé.
- De 1 Andréas, je parle comme je veux ! de 2, pourquoi devrais-je habiter dans se petit « loft » paumé ?! et de 3, je m’investis déjà assez dans mon shampooing et dans mes fringues pour m’investir dans de la musique ! crachai-je.
- Ridicule !
- Ca n’a rien de ridicule !
- Ca a tout de ridicule ! je suis ton frère ! TON FRERE ! et je n’ai pas l’intention de te voir te torturer la vie plus longtemps ! tu le feras !
- Non !
- Si !
Et voila, c’est reparti ! Ses remarques sanglantes, mes 4 véritées qu’il me crache sans cesse à la figure, et le mec qui comprend rien, et ces 4 mecs qui arrivent vers nous en demandant a Ben ce qu’il se passe…
Et voila, mon frère qui me poignarde le cœur :

- je ne te laisserais jamais continuer de te détruire chaque jours un peu plus, je ne te laisserais pas continuer comme tu as commencé, tu me dégoutes, tu me répugnes… cria mon frère de toutes les fibres de ses poumons.
- je…
- oh… Luna… je… excuse-moi… je… je ne sais pas se qui m’a pris je… Luna !! attends !! Tu vas où ?! Luna ! tu ne sais même pas ou tu vas… Luna… sois raisonnable !!

Trop tard, j’étais partie, seule dans l’allée…
Mon frère ne m’avait jamais parlé comme il venait de le faire, un poignard dans le cœur, une brulure dans l’âme…
Après 2 heures de course, ils finirent par abandonner l’idée de me suivre, surtout que j’étais plus vive qu’eux… seul un, un mec continua à me courir après, un mec ou une meuf… je ne sais pas trop, son physique porte à confusion. Mais je n’eus pas le temps d’approfondir mon examen sur sa sexualité car il me rattrapa et saisit ma main pour ne pas que je parte. J’avais beau me débattre comme une malade pour qu’il me lâche, en vain.
« Je passe au plan B, ça marche toujours avec eux ! » songeais-je.
Je lui souris de la façon la plus sexy que je savais et me rapprochais de ma victime, dorénavant pétrifiée sur place.

- tu… que… gloups… marmonna ce dernier.
- Tu es donc un mec… parfait !

J’étais à présent collée sur son corps, une main dans la poche arrière de son jean, attendant une réaction.

- tu es… timide ? le gourmandais-je, à 5 millimètres de la bouche.
- n…n…non…

J’avais envie de le bouffé, trop facile ! Il était trop facile… s’il savait comment je le détestais ! Je ne sais pas pourquoi… il est trop… trop un truc que je déteste, sa façon de respiré, son regard intense, sa main posée sur ma hanche, ses lèvres qui frôlent les miennes… je le déteste, je le méprise, je le hais ! Mais il faut que je le fasse, pour l’honneur ! Pour la fierté, pour le clan, pour la continence !

Je m’emparai de ses lèvres, avec dégoût. Mais une fois ce simple geste terminé, je me sentais toute bizarre, changée…
Je le déteste deux fois plus à présent !
Il s’apprêtait à recommencer quand je le repoussais violement et l’engueulant de tous les noms possibles et imaginables.
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MessageSujet: Re: mondays suck!!!   mondays suck!!! Icon_minitimeSam 13 Jan - 20:06

- c’est quoi ton prénom ?!
- B… Bill… qu’est-ce qu’il se passe ? qu’est-ce que tu fais ?
- Il se passe, Bill ! que tu es nul, naïf comme un têtard qui croit pouvoir survivre plus de 5 minutes… Il se passe que… que je te déteste, que tu vas retirer tes mains de mes hanches, il se passe que tu n’es qu’un connard… il se passe… « que je ne te supporte pas, que je ne supporte pas qu’un mec me fasse cet effet la… il se passe que tu es tout se que je déteste le plus au monde !! »continuais-je pour moi-même sans prendre en compte les regards interrogateurs de Bill.
- Calme-toi… qu’est-ce que je t’ai fait ?me demanda-t-il en me prenant dans ses bras.
- Lâche-moi bordel !! dis-je en le repoussant d’un coup de coude.

Et, en profitant de son inattention, je me remis à courir dans les ruelles sombres de Magdebourg. Il faisait nuit, la pluie était la seule chose qui rompait encore le silence. Je courrais, courrais, jusqu'à je plus pouvoir, courir jusqu'à en mourir, courir jusqu'à oublier, jusqu'à tout recommencer…
Mais mes jambes n’étaient pas de mon avis, bientôt, elles me laissaient tomber… bah… on était Lundi… sa devait arrivé !
Cette nuit la, je n’ai pas perdu conscience, je suis restée, la, couchée au beau milieu de nulle pars, attendant le matin, souffrant le martyr a cause de je ne sais pas quoi dans mon poignet qui foirait…
J’entendis au loin, une voix crier mon nom, une main me secouer puis me caresser les cheveux, comme pour apaiser ma douleur. Puis, une 2emme voix se mêla a la première, c’était un homme, c’était, j’en étais sur, mon frère. Il pleurait, Il me suppliait de la pardonner, mais j’étais trop loin pour lui dire… pour lui dire que peut importe ce qu’il m’avait dit… peut importe la vie, la mort… je l’aimerais toujours aussi fort… qu’il avait tord ! Qu’il devait y croire encore ! Mais j’étais trop loin pour lui dire, trop loin pour le prendre dans mes bras comme j’aurais tant aimer le faire… trop loin, dans la douleur, trop loin en enfer… trop loin dans ma conscience. Et je coulais peut a peut, dans mes conneries, dans la raison, dans l’évidence, dans la vérité… dans la mort qui refusait de m’emporter, elle me disait que je devais vivre encore. J’insistais toujours plus fort pour qu’elle me prenne avec elle… non, trop tard, la lumière revient dans mes yeux. Le réel reprend le dessus et me laisse éclater en pleur, de peur… peur de devoir affronter la vie, de peur de tout gâcher encore… de peur de ne jamais trouver la mort…
Petit à petit, je retrouve mon corps, trop parfait…
Petit à petit, j’ouvre les yeux, et retrouve ma vie, la ou je l’avais laissée ; dans la merde, noyée dans les conneries, écrasée par trop de vérités…

A première vue, j’étais allongée sur un lit, dans une chambre, un homme était assit sur un fauteuil. Je savais qu’il avait veillé toute la nuit, qu’il était crevé, mais qu’il persistait a resté éveillé. Cet homme, n’était pas mon frère comme je l’aurais tant désiré… non, c’était un grand blond à l’air butté. Il regardait dans le vide, le regard voilé part ses pensées. Il inspirait le respect, un respect que tu te sens obligé de lui donner car, avec juste un regard, il t’offre un appui, quelque chose sur quoi te reposer ; la confiance.

Rassemblant toute mon énergie, je me levais tant bien que mal et me dirigeais vers l’homme en question. Toute suite après avoir remarquer que je me dirigeais vers lui, il accourut et me prit dans ses bras…
Il me porta et me déposa sur le fauteuil ou il était assit juste avant.

- m… merci. murmurais-je.
- De rien ! ça va ? tu étais en piteux état !
- Oui… depuis combien de temps je suis ici ? demandais-je.
- Depuis bientôt une semaine… répondit-il
- Ou… ou est Andréas ?
- Andréas ?
- Mon frère… dis-je en baisant la tête.
- Il… est… il est… on ne sait pas ou il est… il a disparut deux jours après… emm… hum, que tu sois… tombée. J’avais jamais vu quelqu’un dans cet état la ! sa… choqué a vie ! dit-il gêner de sa réponse.
- Il est quelle heure ?
- Q… quoi ?! tu ne t’inquiètes même pas pour ton frère qui est introuvable ?! s’énerva-t-il sur un ton de reproches.
- Quelle heure ?!! redemandais-je
- 3h45… mais… hé ! tu vas ou ?! attends-moi !
- Je vais juste chercher un truc à manger… calmes-toi ! répondis-je déjà élancée dans les grands couloirs de la demeure.

Je me sentais mal… très mal… trop mal. Brulure de l’âme !
J’avais envie de crier, de crier ma douleur, crier jusqu'à en mourir, crier et en finir… crier et m’enfuir… crier son nom, crier encore et encore sans jamais m’arrêter…
Crier sur cet imbécile de Bill qui me suit par tout, crier de lui dire d’arrêter d’essayer de m’aidé, crier sur cet homme qui me dit qu’il faut m’aidé, crier sur ce con qui mange mon croissant…
Tuer la vie, faire vivre la mort…

- il faut que tu nous laisse t’aidé ! Pourquoi tu t’obstine ?! Pourquoi tu te tue chaque jour ? Qu’est-ce qui c’est passé ? Luna, regarde-moi… continua Ben, ne se souciant pas de mes insultes.
- On vit pour mourir… on meurt pour survivre… lui répondis-je avec un air remplit de sous entendus.
- Vient avec nous… alors… deviens comme nous… rejoins nous… sil te plais…

Non !, hors de question ! Même pas en rêve !!

- d’accord… répondis-je presque a contre cœur, mais j’en avais besoin, je savais que seul eux savaient m’aidé, que seul Bill savait m’apaiser, que seul ce mec qui avait veillé sur moi pouvait me réconforter, que seul se petit con aux vêtements amples qui sautait partout de joie savait me faire sourire…
- G.E.N.I.A.L.E !!!!!! s’écria ce dernier, toujours en sautant comme un gamin surexcité. Sa va tout déchirer avec une belle fille avec nous !! waw ! j’suis heureux !!
- Calme-toi, Tom ! tu vas d’abor lui enseigné les bases de la guitare, Bill à poser sa jolie voix et après sa on commencera ! dit calmement Ben. Malgré tout, je sentais qu’il était content que je vienne.
- Mais… je n’ai pas de guitare… dis-je après un cours temps de réflexion.
- Non, mais ta des tonnes de tunes !! alors viens !! grouille !! on va commencer tout de suite ! répliqua joyeusement Tom.
- Mais… on va ou ?!
- Ben… t’acheter une gratte et du matos !
- Ah ! oui…
- Aller viens !

J’étais devenue enthousiaste, Tom était vraiment exceptionnel ! Il savait exactement quoi me dire pour me faire changer d’avis… en chemin, il m’apprenait et me montrait les bases du solfège. Bientôt, je fus capable de jouer un air sans fautes, tellement j’avais envie d’apprendre. La guitare était vraiment la plus fabuleuse invention du monde !
Je fis également connaissance avec les autres membres du groupe, Gustave était celui qui m’avait veillé pendant que j’étais inconsciente, Bill était celui que je détestais et qui me faisait la gueule, Tom était celui que j’appréciais le plus, et Georg était le bassiste du groupe, lui et Gustave étaient très proche !

Le trajet fut long, mais très agréable, sauf quand je me disputais avec Bill pour des conneries.
Une fois arrivée –après presque 2heures de route- Tom me fit parcourir des tonnes de rayons avant de s’arrêter un grand sourire aux lèvres, devant un mur complètement tapissé de toutes sortes de guitares électriques.
Une me plaisait énormément, c’était une mauve avec des reflets de rose dessus.
Quand, toute fière, je la montrai à Tom, celui-ci fit un pas en arrière et poussa un petit cri.

- c’est une Azzura 45637. C’est une vraie œuvre d’art, elle coute… euh… 2198$. Dit-il en répondant à mon regard interrogateur.
- Très bien ! déclarais-je fièrement. Je la prends ! il faut le reste maintenant… tu m’y conduis ?
- Toute suite… dit-il le souffle encore coupé.

Il m’amena alors chercher une housse, puis un ampli, puis des nouvelles cordes au cas où les miennes se casseraient, puis un micro et un autre ampli… et d’autres trucs dont je ne me souviens plus vraiment de l’intérêt.
Et enfin, on se dirigea vers la caisse, un chariot remplit de matériel.
Ce jour la, j’avais dépensé 14.430$, mais je n’en avais pas grand-chose à foutre, j’étais riche, fallait que j’en profite non ?
Dans la voiture, j’étais en train de m’engueuler avec Bill sur un sujet qui ne le concernait en rien mais sur lequel il me questionnait sans cesse, quand Tom –qui était en train de manipuler ma guitare, visiblement jaloux- déclara :

- dis… tu me laisseras l’utiliser ? me demanda-t-il sur un ton charmeur.
- Même pas en rêve mon Tomichounet ! tu as une guitare, sa c’est la mienne ! le remballais-je…
- Oooooooooooohh s’il te plaiiiiiiiiiiis !!!
- Nan ! lui répondis-je en lui donnant une bise sur la joue.
- Vous êtes pitoyables ! de vrais gamins… cracha soudain Bill.
- Ooh ! ta gueule, Bill ! nous, au moins, on est pas coincés comme toi !
- Le coincé il t’emmerde !
- Je sais ! il n’arrête pas depuis ce matin !
- S.T.O.P !!!! s’imposa Georg soudainement énervé. C’est la 6emme dispute aujourd’hui ! vous contez battre le record ?! vous ne pensez pas qu’il vaudrait mieux faire la paix ?!

Si ! Je meurs d’envie de me blottir dans les bras, il est trop sex !

- je préfère mourir ! dis-je sèchement, même si c’était un supplice de prononcer ces mots…
- me réconcilier avec ELLE ?!!! s’étonna Bill. Cette prostituée de studio que… qu’on… paye a l’heure ?!!
- Bill ?! mais qu’est-ce qui te prend ? s’énerva Gustave. Elle t’a rien fait à ce que je sache ! ou alors faut que vous m’expliquiez !
- C’est juste que… que…
- Que quoi ?! Bill ! s’impatienta à son tout Tom
- Nan… rien.

Ce qu’il m’avait dit était comme… comme… je ne sais pas… sa me faisait mal, même si je détestais de toutes mes fibres Bill… sa m’avait fait mal. Tom avait du le sentir car il me prit dans ses bras. Un léger frisson parcouru mon corps quand il me toucha le bras. Frustrée, j’étais frustrée qu’un mec réussisse à me faire cet effet la ! Puis une question me monta aux lèvres :

- Tom ?
- Mmh ?
- Bill, c’est tom frère ?
- Oui… pourquoi ?

Parce que vous avez le même dont pour me remonter le moral, pour m’apaiser juste en me prenant dans vos bras…
Parce que vous êtes tellement pareil…

- euh… n… non… comme sa.

Brusquement, il se tourna vers Bill, puis me regarda et sourit bêtement, son regard allant de Bill à moi.
C’est chiant ! Je vous l’avais dit ! C’est chiant un frère jumeaux parce qu’on peut rien ce cacher… ici c’est pareil, Tom a lut dans le regard de Bill et sa… sa… sa m’énerve !
Soudain, Tom se mit a gesticuler et a gueuler, moi je riais comme une malade…
Tom était extrêmement chatouilleux et Georg venait de fondre sur lui, comme pour changer de sujet…
Je ne pus me retenir de me sentir soulagée et de le remercier intérieurement…
A mon tour je me jetais sur tom qui se débattait, en vain.
Je ne pouvais m’empêcher de sentir les yeux de Bill posés inconsciemment sur moi. Gustave aussi, l’avait sentit, je pence, car il dit tout bas a Bill :

- elle te plaît. Hein ?
- dis pas de conneries, Gus !
- Ooh… mais je n’en ai pas dis ! répliqua-t-il un sourire coquin accrocher aux lèvres.
- Si ! tu viens d’en dire 2 !!
- Je te connais maintenant, Bill… dit-il sur un ton presque inaudible.
- On est arrivé ! éh oh ! il faut sortir !! lâcha Ben qui était déjà sortit de la camionnette.

Je m’empressais de sortir et d’éviter Bill. Trop vexée pour lui adressé quoi que ce soit !

- Tom ? tu sais si dans se quartier il y a une boite ?
- Il y en a une… mais je désirerais que tu n’y aille pas ! répondit Gustave a la place de Tom.
- Et pourquoi cela ?!!
- Parce que nous veillerons sur toi, ton bien être !
- De quoi je me mêle ?!
- On ne sait rien de toi… mais on ne te laissera pas retourné dans cette connerie ! intervint Tom.
- Je vais chercher mon frère… rien de plus !! répondis-je sur la défensive.
- Alors quelqu’un viendra avec toi !
- Pourquoi ?!
- Alors on viendra tous avec toi, et on ira en boite ! lâcha Georg visiblement emballé par l’idée d’allé en boite.
- Ok ! finis-je par dire. Vincent ? Alexandre ?
- Oui, madame ? répondit Vincent
- Mademoiselle ? dit Alexandre a la suite de Vincent
- Vous avez prévu quelque chose se soir ?
- Non, madame. Répondirent-il ensemble.
- Bien, vous viendrez avec nous.
- Bien entendu, madame !

Ensuite, Ben me fit chanter toutes sortes de chansons, seule, puis avec Bill, puis avec tout le groupe…
La première chanson que je dus chanter, ce fut Tom qui la choisit, elle était totalement appropriée et magnifique…

- celle-là !! avait-il fièrement déclaré.
- Oui… elle est très belle ! vas-y, fais-nous voir se que tu as dans les cordes vocales ! avait rajouté Ben.
- Ok, j’me lance…
Conversation with my 12 year old self.
Conversation with my 12 year old self…
Mais je n’avais pas eu le temps d’aller plus loin que Bill avait déjà commencer à continuer la chanson à ma place.

- you’re angry, i know this
The world couldn’t carre less
You’re lonely, i feel this
And you wish you were the best
No teachers or guidance
You always walk alone
You’re crying at night when nobody else is home
Come over here and let me hold your hand and hug you darling
- I promise you that it won’t always feel this bad… avais-je ajouté avant de le laissé continuer.
- There are so many things I want to say to you…
- You’re the girl I used to be
You little heartbroken 12 years old me
- you’re laughing but you’re hiding
- God I know that trick too well!
And now I’m just the shell
- I promise, I love you
Everything will work out fine
The pain you feel is real you’re not asleep but it’s a nightmare
But you can wake up anytime
Don’t lose your passion or the fighter that’s inside of you
Until we meet again, oh I wish you well!!
- I will be well because I know you will help me… avais-je terminer avant que mes larmes ne tombent.
- I promise! That we will help you to be well again! Avait-il promit hors de la chanson, avant de refermer la porte qu’il avait entre ouverte pour chanter.

Crachant un chapelet de jurons, Ben et Gustave s’étaient élancés à la suite de Bill, tandis que Tom et Georg tentaient de me rassurer, en vain, je savais que seul mon frère aurait pu me consoler dans ces moments la… il n’était pas la, et j’avais énormément envie d’un peut de Coke…

Une fois que j’avais reprit mes esprits, Ben et Gustave rattrapés Bill, je chantais « call me when you’re sober » et quelques chansons du groupe pour m’y habituer. D’abord sans Bill et les autres et après avec. Ben était visiblement ravi et me chouchouta tout le reste de la journée jusqu'au moment où nous partîmes en boite.

La soirée se passa très bien, je réussi un peu à me détacher des autres pour chercher mon frère, ou plutôt, pour récupérer mon frère.
Je sortis donc ni vu ni connu de la boite et parcouru la moitié de Magdebourg avant de trouver la maison que je cherchais ;
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MessageSujet: Re: mondays suck!!!   mondays suck!!! Icon_minitimeSam 13 Jan - 20:07

celle de Veronica, une pouf avec qui mon frère avait couché et était devenu complètement drogué a cette fille. Elle, elle profitait de lui pour le faire boire et ensuite profiter de lui de toutes les façons possibles et imaginables.
J’entrais de force à l’intérieur et me dirigeais directement vers le salon. Je trouvais mon frère dans les mains de cette vrai petasse…

- Luna ! Quelle bonne surprise ! Tu vas bien chérie ? Je suis heureuse de te revoir ! dit-elle en me voyant
- C’est réciproque !
- Ce n’est pas se que tu me disais avant…
- Av… avant… c’était avant !
- Tu es toujours aussi mignonne quand tu hésites… on te l’a déjà dit ?
- Ma sœur… est… hip… toujours mignonne ! hip… hé hé hé ! dit Andréas bourré comme a chaque fois.
- Tu lui as fait quoi cette fois ?! hein ?!
- wiski ? me dit-elle en me tendant la bouteille.
- tu es seule… très seule ! sa te rend malade que c’est moi qu’on a choisit ! mais tu ne peux plus jouer la victime ce soir ! c’est trop tard… égoïstement malade… toujours en train de chercher une chose qui n’existe pas ! la honte te rend malade ? tempi, tu mourras ! on a plus rien à se dire, regarde-toi ! regarde-moi ! je pourrais noyer ta maison dans ma piscine… tu es pitoyable… pire que la maitresse de ton patron.
Tu oublies que quand on est sobre on ment tout le temps…
Sauf que grâce à ma connerie je ne suis plus jamais sobre !
- ou veux-tu en venir ?! me demanda-t-elle agacée.
- je ne sais pas… à cause de toi !
- Frédéric a déménagé dans le quartier…
- Q… quoi ?! tu… tu lui as dis que… ?!
- Bien sûr ! je lui ai donné toutes les informations que je savais contre se que tu étais venu cherchée…
- Connasse !! dis-je en me jetant sur elle.
- Clame-toi poupée ! moi aussi je t’aime !
- Ordure ! putain ! tu es une merde ! je te haï, je te méprise ! tu…

Je n’eus pas le temps de terminer sa phrase qu’elle s’était jetée sur mes lèvres, m’embrassant à pleine bouche…
En un instant, une partie de ma vie défila devant moi…

Une partie de ma vie qui restera à jamais gravé dans ma mémoire, une partie de moi que je ne voulais pas…

« Assise sur un lit double, je regardais le vide… ma vie que je détruisais, que je m’amusais à détruire…
Puis, une jeune fille, âgée de plus ou moins mon âge ; 14 ans à peine, vint me rejoindre sur le lit. Nos regards s’échangèrent puis je me jetais sur son cou, laissant une belle marque de suçon sur sa peau légèrement pale.
Cette nuit la, j’aurais du perdre ma virginité, sauf que c’est impossible, avec une femme…

Ce moment si… si immortel… si douloureux m’avait littéralement changé, faisant de moi une garce.
Je ne l’avais raconté qu’à mon frère –qui avait deviné qu’il se passait quelque chose. Je lui fis jurer de ne jamais le répéter… » Jusqu’aujourd’hui il a toujours tenu sa promesse…

Andréas nous regardait de ses grands yeux verts, mêler notre corps, baiser encore…
Il ne manquait rien a la scène, je ne savais pas vraiment a quoi il pensait, que voulait dire ses sourcils froncés, était-ce de la jalousie, du dégout ou encore de la rage ? Un peut de tout je pence…
Un poignard dans le cœur, une brulure dans l’âme…
Il me regardait, me tuer encore, mais pourtant sourire plus fort…
Il me voyait, me saouler a la mort, lui tendre les bras et me faire refouler encore car mon heure était loin devant…
Il me sentait, souffrir et rire, jouir mais sourire… il sentait que cela me tuait mais que c’était sa qui me plaisait…
Il en souffrait, mais complètement shooté, il ne bougeait pas, ne faisait rien pour nous arrêter…
Il saignait… saignait de l’esprit… pleurait du regard et mourrait dans l’âme…

Après quelques minutes ou quelques heures je ne sais plus trop, je finis par franchir le pas de la porte, rongée par les remords, trainant Andréas qui ne tenait pas sur ses pieds et disait n’importe quoi.
Puis, soudain, je me souvins que Frédéric était non loin d’ici et que, je le devinais, il la cherchait.
Je me mis à courir à pleine jambes jusqu'à la boite ou j’espérais trouver Tom et lui livrer mon frère pour me dissimuler dans la foule.

A peine je fus entrée à l’intérieur que Ben me sauta dessus et m’engueula pour avoir quitté l’endroit toute seule.

- tu sais ou est Tom ? l’interrompais-je instinctivement.
- Pourquoi ? me répondit-il par une autre question, un sourcil levé.
- Pour lui donner mon frère.
- Euh… je n’sais pas ou est Tom mais son frère est là-bas en train de se noyer dans sa bière, j’me d’mande comment il fait pour rester sobre !
- C’est justement parque c’est d’la bière ! répondis-je du tac au tac, amusée par son air ébahit.
- Ah…

Je me dirigeais alors, vers Bill qui en était a sa 5emme bière. Quand je m’assis a coté de lui, il leva a peine les yeux de ses mains. Il avait cet air butté qu’on a quand on a fait une déprime ou quand une ex à qui on tenait vraiment vient de retéléphoner.

- qu’est-ce qui c’est passé ?!? lâcha-t-il soudain après quelques minutes de méditation.
- C’est a moi que tu demande sa ?! tu t’es regardé ?! on dirait un zombi !
- Putain ! tu te calme ! j’t’ai pas agressé et j’en ai rien à foutre de toi… j’veux juste la vérité !
- De quoi tu parles ?! demandais-je en craignant que…
- Un mec est venu me voir. Il m’a demandé si je te connaissais, j’ai dis oui. Ensuite il a demandé si tu allais mieux et quand tu étais sortie. De ou ?! il c’est passé quoi ?! tu le connais se tipe ?!
- Je… je… je dois… y aller ! j’ai retrouvé mon frère… tu sais t’en occuper le temps que j’me défoule un peut ? s’il te plaît. Dis-je, ignorant ses questions.
- T’as pas répondu à mes questions !
- Non…

Et, en le laissant méditer, je partis en direction du bar.
Mauvaise idée ! Frédérique buvait énormément, comme moi et pourtant, je n’avais en rien songé qu’il aurait pu être accoudé au bar, sirotant un bacardi coca. Ben, j’avais eu tord !
Il était la… on aurait même dit qu’il m’attendait…
Je fis semblant de rien et commandais un cocktail « pink and black ». Je m’agitais nerveusement sur mon tabouret. Quand le serveur arriva de nouveau, il me dit que le monsieur en rouge et noir (c’était Frédéric) me payait le verre et me priait de le rejoindre. Ce que je fis, sans vraiment savoir pourquoi. Peut être juste par fierté. Peut être juste parce que j’avais toujours eu besoin de lui. Peut être encore, parce qu’il m’attirait comme un aimant…
Je vins donc m’asseoir a coté de lui. Ne daignant pas lui adresser, je lui fis poliment la bise et sourit, comme pour essayer de lui prouver que j’étais totalement capable de vivre sans lui, ce qui était absurde et il le savait !
Il me dit que j’étais devenue magnifique, que j’avais de beaux yeux, qu’il adorait ma façon de l’ignorer, que je l’excitais…
Attendez ! Il a dit : que je l’excitais ?!!
«Non ! Non ! Reste calme. Non ! Ne lui saute pas au cou comme il voulait tant que tu le fasses ! Non ! Reste digne !
Arg… gargouillis dans le bas du ventre, feu aux joues, frissons, regard intense…
Non ! Ne retombe pas la dedans ! Il est… il est marié ! Il est plus vieux que toi ! Reste fière ! Ne lui donne pas se qu’il veut ! Ne sois pas naïve comme Bill ! Non ! Ne lui adresse la parole que quand tu te sens forte, fière, prête à affronter ! Tu dois lui faire subir se qu’il t’a infligé, le détruire ! L’anéantir ! Le réduire en mec banal et complètement aveugle, naïf ! Ne retombe pas le dedans ! Ne lui donne pas se qu’il veut ! Fais le souffrir pour tout se qu’il t’a fait ! Il t’a souillé, drogué, détruite ! Songeais-je en repoussant la main qu’il avait posé sur ma cuisse, il fallait que j’arrête de penser à lui ! »

- Je, euh… tu… tu… vas bien… euh, mieux ? me demanda-t-il en cherchant péniblement ses mots.
- Je vais ! et toi et… Laurie ? dis-je sans pour autant relevé la tête.
- Nous… je… j’ai… nous, avons divorcés.
- Oh… désoler. Murmurais-je en levant finalement la tête vers lui.
- Sa fait quelques années maintenant…
- Que… vous… ?
- Non ! que nous… que tu es partie…
- Je ne suis pas partie ! m’énervais-je.
- Juste… tu as fuis ! je me trompe ?!
- Je n’aurais pas du…
- De quoi ?
- Fuir… croire pouvoir me passer de se dont je vis… croire de pouvoir vivre sans plus te revoir… je n’aurais pas du naitre…
- Ne dis pas cela… me répondit Frédéric.
- Je le dis ! je le dirais tant que tu seras avec moi !
- Tiens… j’ai pensé que… tu en aurais envie a ta sortie… dit-il en me tendant un sachet de drogue.
- Oh… oui… merci… soupirais-je, je ne pensais pas qu’un jour j’allais en reprendre, a parement c’était programmé… bah ! on était lundi, sa devait arriver !
- Tu fais quoi de beau ? je veux dire, ici, a Magdebourg, en compagnie de stars Allemandes ?
- La même chose qu’eux… mon frère a décidé de faire de moi une star de rock… que je devais « m’investir dans quelque chose »… ridicule !
- Il n’a pas remarqué combien tu t’investissais déjà dans tes fringues et dans ton shampoing ?! dit-il en rigolant.
- C’est exactement ce que je lui ai répondus… dis-je en rigolant a mon tour.

On passa la soirée à boire, fumé, se drogué, beaucoup rigolé, boire, boire, boire et boire encore. C’était si bon de se revoir, je ne ressentais plus se sentiment de gène face a lui… je me sentais comme en présence de mon meilleur ami. Et enfin, dans un délire par rapport a la musique, il m’avoua qu’il était bassiste et qu’il essayait de former un groupe anglais avec son pote qui était, lui, batteur, mais il refusait de me dire son nom pour l’instant. Il me demanda alors, si j’accepterais –après ma « formation »- de devenir leur chanteuse et guitariste, se que j’acceptais, du a l’alcool ! C’est certain, mais une partie de moi me criais que l’alcool n’avait rien avoir avec sa et que j’en brulais d’envie quand même…
Malgré tout, je refoulais cet engagement pour la soirée, c’était trop de préoccupations !
A la fin, il m’invita à aller danser, j’acceptais avec joie !

On en était a la 6ème danse quand j’aperçu Bill assit a discuter avec mon frère. J’eu un mauvais pressentiment… le temps de rentrer était arrivé. Je laissais notre adresse a Fred et couru chercher les autres et surtout : arrêter la conversation que Bill entretenait avec mon frère, visiblement toujours en piteux état !
Ce que je craignais était en train de se produire ; sous l’alcool et avec la curiosité de Bill, mon frère était en train de raconter toute ma vie, cet a dire : toutes mes conneries, se que j’étais et qui étaient Frédéric et mes autres « potes »…
Malgré toutes les larmes qui s’éparpillaient sur mes joues et tout mon maquillage qui y avait coulé, je fis semblant de rien et souris pour effacer touts soupçons… heureusement qu’il faisait nuit. J’espérais de toutes mes fibres que ma douleur ne se reflétait pas et que ma tristesse était invisible dans le noir…
Arrivés à la maison, je pris le temps de bien l’étudier. A ma grande surprise, c’était un manoir gris et sombre, rien de plus et rien de moins…
En marchant dans l’allée j’entendis des pas courir pour me rattrapé mais je ne fis rien pour ralentir et mes larmes recommencèrent a me brouillé la vue. Bientôt, Tom me devança et s’arrêta juste devant moi, m’obligeant à m’arrêter à mon tour.

- c’était qui ce… Frédéric ?! me demanda-t-il sur un ton menacent, presque agressif.
- Un ami a moi, que je n’avais plus revu depuis longtemps. Répondis-je du tac-au-tac, en détournant le regard.
- T’es sur ?
- Mais oui !
- Pourquoi tu pleures ?
- P… non… euh… rien.
- Ne dis pas de conneries ! Luna… il me regarda de son regard hypnotisant et me prit doucement dans ses doux bras…

Doux bras ?! Qu’est-ce que je raconte ?! C’est surement du a l’alcool !
Presque instantanément, mes lèvres croisèrent les siennes. Il posa délicatement sa main dans mon cou, sous ma chevelure rousse. Et, tout les deux se demandant qui ferait le premier pas, on attendu, comme sa, seul, dans le froid. Puis, ensembles nous nous jetâmes sur les lèvres de l’autre, l’embrassent avec passion, avec plaisir, désir, envie… mais aussi avec crainte, car on savait très bien qu’aucun des deux ne croyait a l’amour. Pourtant, se sentiment m’était étranger… non pas de l’amour… plutôt de la rancœur, du remord, sans savoir pourquoi…
Non… contrairement a ce que vous pensez, nous n’avons pas couché ensemble ce soir la. Non, une sorte de barrage nous bloquait. Je n’en fus pas moins mécontente, car je dormis quand même dans les bras de Tom, dans son lit, dans sa chambre.

- Un poignard dans le cœur, une brulure dans l’âme.
Je suis un être sans vraiment l’être…
J’ai une âme mais sans vraiment d’état d’âme…
Des yeux bleus, un cœur amoureux du ciel monotone qui me chantonne sans vergogne les passions de cet homme, un sombre soir d’automne…
Je suis une personne, comme toi, qui ne connais personne.
Je suis une fille qui brille et qui chante à l’aurores car dehors, l’espoir existe encore…
Je suis un être, le seul qui fait tout pour ne pas l’être…
La vie est tellement éphémère, je chante pour la mer car elle, elle restera toujours fière, de me voir sur la terre.
Ici, la pièce est morte et vive à la fois…
La porte claque encore une fois et je lève les yeux pour la première fois depuis que j’ai entendu tes pas derrière moi…
« La mort c’est mise au lit »… c’est ce que tu m’as dis lorsque tu as croisé, au hasard, mon regard vidé d’espoir et seul dans le noir. Chantonnais-je, ne parvenant plus à retrouver le sommeil.
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MessageSujet: Re: mondays suck!!!   mondays suck!!! Icon_minitimeSam 13 Jan - 20:08

- Mmh ?
- Non… rien… rendors-toi, je vais prendre une douche… dis-je en me relevant.
- Mais, Luna, il est à peine… euh 3h46 ! dit-il, exaspérer, en se relevant.
- Déjà ?
- Tu te fou de ma gueule ?
- Mais ouiii… dis-je finalement, en me jetant sur son beau torse.
- Ahh… j’aime mieux sa ! répondit-il sur un air coquin, pendant que je me positionnais au dessus de lui pour lui faire un suçon.
- Ah bon ?
- Mmmmh !! ouiiii !

Il finit par m’enlever mon t-shirt de pyjama, dévoilant ma poitrine nue. Ensuite, je le débarrassai son caleçon, lui de mon pantalon de pyjama et de mon string. Après quelques acrobaties, il me pénétra sensuellement, entrainant un cri de plaisir de ma par. Le reste de la nuit ou le début de la journée, au choix, fut très « sportif » même si je ne vous en donne aucuns détails (c’est personnel ^^).
Ver environ 10h je finis par allé prendre la douche que j’étais sensée prendre 2h au paravent, laissant Tom souffler. Ce dernier c’était endormit quand je sortis de la douche, je ne pu m’empêcher de l’admirer. Qu’il était beau ! Trop excitant…
Pour ne pas le déranger, je lui fis une bise dans le cou et descendis rejoindre les autres pour le petit déjeuné.

A table, Gustave était de très bonne humeur et emmerdait Georg avec des blagues qui ne faisaient rire que lui et moi, car on était les deux seuls de bonne humeur ! Bill avait de larges cernes sous les yeux et une gueule jusqu’au sol. Et Georg, lui, avait les yeux rouges, comme le rouge a lèvres qu’il avait au coin de la bouche et les cheveux en batailles.

- bien « dormis » ?!! me demanda finalement Bill, arrogamment.
- Je… oui, très bien et toi ?
- Je n’ai pas su !
- Ah bon ?
- Moi non plus ! déclara Georg, émergeant de sa tasse de café.
- Comment sa se fait ? demanda ignoramment Gustave.
- J’sais pas trop… commença Georg
- J’avais l’impression qu’une fille gueulait dans les couloirs !!termina Bill en insistant bien
- Bizarre, moi j’ai rien entendu ! répondis-je
- C’est peut-être normal ! non ?!!
- Ouais ! insista Georg en me regardant.
- Tu sais, Georg, tu as du rouge à lèvre sur le coin de la bouche…
- Georg ! t’es trahit !! se moqua Gustave.
- M…
- Alors ? qui est l’heureuse élue ? le pressais-je
- Ben…
- T’en a pas marre de mentir tout le temps ?! s’énerva soudain Bill, interrompant dans Georg son élan. Parce qu’en fait, j’me demande si mon frère, tu n’le considère pas juste comme un bouche trou en attendant de retourner avec Frédéric. Ce n’est pas grave si tu ne réponds pas. C’est sa que sa fait la drogue ! non ? enfin, t’es quand même une habituée alors…
- Bordel de putain de merde ! t’en as pas marre de t’acharné sur elle, Bill ?!! qu’est-ce qu’elle t’a fait ?! sa te dérange tant que sa qu’elle aye couché avec ton frère ?! tu sais, tu frère aussi, prend les filles pour des objets ! ne le défend pas, Bill ! s’élança de nouveau Georg.
- Non, laisse tombé, Georg. Je… je vais partir si c’est ce qu’il désire ! j’irais retrouver Frédéric. Dis-je, perturbée, en me relevant, maladroite et tremblante.
- Ouais ! c’est sa ! casse toi, c’est pas une grande perte !
- Dans les deux sens ! salaud !
- C’est sa ! dégage ton ptit cul de petasse d’ici, sa vaudra mieux pour tout le monde !
- Et toi retourne dans ton bar à putes ! aboyais-je déjà en haut des escaliers.
- LUNA ! Ne déconne pas ! reste ! on s’en fou de l’avis de Bill ! tu vas déchirer Tom ! non ! reste ! Luna…

En vitesse, j’ordonnais a deux de mes gardes du corps de rassembler mes affaires et a deux autres de me trouver un hôtel ***** pour y loger. 2h plus tard j’étais devant la télé, droguée avec une cigarette à la main et les yeux en larmes.
Mais très vite lacée de se tissu éternel de conneries, je sortis au balcon de la chambre.
De lourds flocons tombaient dehors et venaient s’écraser sous les roues des voitures. Mélancolique, je les regardais terminer leur vie qui venait à peine de commencer. Je les enviais tellement. J’aurais tellement aimé pouvoir mourir, ou encore, ne jamais être née. Pourtant, la mort refuse de me recouvrir de ses sombres ailes. J’ai beau supplier la mort, trucider la vie, tout gâcher, me tuer dans l’alcool et la drogue, elle refuse obstinément d’attraper les bras que je lui tends.

Je voulais oublier, recommencer, souffrir jusqu'à en finir, mourir…

Quelque chose en moi avait changé. J’étouffais derrière le masque je j’avais revêtus. Je voulais devenir nouvelle, fraiche et vivante… je voulais être la seule qu’on remarque dans la rue. Non, plus par mon charisme et ma beauté ! Pour ma différence. Pour celle que j’aurais toujours du être.
Prenant la lune comme témoin, je me mis à chanter à pleins poumons, pour que tout le monde voie que la musique a changé ma vie. Pour que tout le monde réalise que je vais faire partie d’un groupe de punk que tout le monde adorera…
Bientôt, une foule de personnes curieuses -ou tout simplement attirées par ma musique- s’était formée autour de l’hôtel. De nombreux flash sèbraient la nuit et les flocons de lumière.
Moi, je chantais toujours, inventant des chansons au fur et a mesure, souriant au passant et brillante de chaque particules de mon être. « Merci !!! Merci Tom, merci, Bill, merci Gustave, merci Georg !!! » Criais-je après mon petit concert improvisé. Mais, moi, je pensais qu’après un petit truc pas important, ben, on laissait coulé quoi… une fois de plus, j’avais tord ! Je fus acclamée comme jamais dans ma vie par la foule qui dépassait la 50taine a présent et qui criait « en-cor en-cor !! » a tu tête…
Tout mon corps pétillait de tout mon être… pour la première fois de ma vie, j’étais vraiment heureuse !
Je le fus encore plus quand, dans la foule, je distinguais Frédéric et mon frère, de grands sourires accrochés aux lèvres.

Environ une heure après se petit « scandale » quelqu’un vint toquer a ma chambre. C’était Frédéric, il portait un somptueux bouquet de tulipes noires et rouge en mains.

- wah !!! J’suis trop étonné ! j’te pensais pas capable de déconner comme tu l’as fait ! je… euh… je suis… fier de te connaître et de… euh… te demander sincèrement, si tu veux bien être la chanteuse de notre groupe… dit-il en fermant les yeux et en me tendant le beau bouquet, le pire, c’était qu’il avait vraiment l’air sincère…
- je… je… euh… je sais pas quoi dire…
- s’teuplaiiiiiiiiiiiiiis ! on… on… on a… besoin de toi !!!! insista-t-il.
- Waw ! que me vaut toutes ces déclarations ?
- Tu es… tu es magnifique, pétillante… j’ai honte de le dire mais… tu paraissais… à nouveau… vivante… répondit-il gêné mais pas mécontent du out de sa réponse.
- Je me suis réveillée… Fred… j’ai changé… la musique m’a changer… et c’est… c’est pour sa que j’accepte de devenir votre chanteuse !

Il ne prit pas la peine de répondre quoi que se soit, d’un coup, des étoiles brillaient de mille feux dans ses yeux et il se jeta sur moi. Moi, j’étais sur un nuage… je n’avais plus envie de drogue… plus envie de clopes et d’alcool… euh… j’ai dis sa ?! Vraiment ? Bon ben…
Il tenait absolument à me montrer notre futur studio et a me présenter a ses amis, alors nous nous sommes mit à arpenter les rues pour trouver quelqu’un qu’on connaissait. Moi, je n’en avais pas grand-chose à faire, de rencontrer ses amis, pourtant j’étais prête à le suivre jusqu’au bout du monde ! Je l’étais, jusqu'à ce qu’il disparaisse dans la nuit, me laissant seule dans la nuit avec ces filles qui courent dangereusement ver moi en criant.

- merde ! J’fais quoi, moi, maintenant ?! Soupirais-je en grinçant des dents. Bah… pourtant on n’est pas lundi… sa peut pas être si terrible ! j’vais leur demander le chemin du retour…
- iiiiiiiiiiiih !!! c’est elle ! c’est elle !! criairent deux des filles en sautillant comme des connes.
- Euh… moi… héhé… oui, c’est… euh… moi… répondis-je supermégagiga troublée.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!! tu me signe un autographe ???
- Nous aussiiiiiii !!!!!! répondirent en cœur les autres.
- P… pardon ?!!! tu veux que… bon… d’accord

Elles me tendirent des petits cartons avec… hééééé !!!! Bordel de queue ! Avec ma photo dessus… toutes des photos différentes de moi… putain ?!! Elles foutent quoi avec sa ?!!

- dites, j’peux savoir ou vous trouvez toutes ces phots ?! j’suis pas célèbre à c’que j’sache !! demandais-je en signant un énième autographe.
- Tu rigole ?!! la plus part des magasines parlent de toi !! et aussi… de ton aventure avec Bill…
- DE MON QUOI ?!!!!!!!! criais-je en arrachant des mains de la fille les magasines qu’elle tenait en main.
- Ben oui ! t’es sortie avec Bill Kaulitz, le chanteur de Tokio Hotel !
- Faudrait d’abord que je le sache non ?!
- Ben oui… hihihihi…
- Rraaaaa j’vais porter plainte pour… comment sa s’appelle encore ?! bordel de putain de merde !
- Merci… dit timidement l’une des « fans » (sa fait trop zarbi de le dire comme sa !!). euh… on pourrait avoir quelques photos ?

Je soupirais un grand coup avant de me laissé manipuler dans tout les sens pour une séance photo. Habituellement j’aurais adoré qu’on me chouchoute et adore comme sa… mais aujourd’hui, je trouvais sa chiant et saoulant…
Puis, après quelques gloussements et larmes, elles finirent par partir, me laissant, la, seule dans la nuit.
Je ruminais ce qui venait de se passer quand quelqu’un sortit de nulle part me fonça dessus.

- ptain ! regarde ou tu va, paumé ! crachais-je, étonnée de mon comportement.
- Oh… I’m so sorry… do you know were is the hotel « le Moulin vert »?
- Le moulin vert? euh… c’est mon hôtel mais… je suis perdue… tu connais Frédéric ?
- Frédéric? Do you know him? He is a good friend of me. Me répondit-il, ravit.
- De quoi? Tu ne parles pas français par hasard?
- My name is Connor, I’m from the U.S.A, Frederic has ask me to com in Germany because he want to present me to a girl.
- Bon, ben… héhé. moi, j’me casse!
- Hey?! Wait for me… I’m coming with you!
- Tu veux venir avec? Ok! Mais tu m’aide a retrouvé cet enfoiré de Fred qui m’a laissé toute seule avec ces espèce de folles !
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