« Un poignard dans le cœur, une brulure dans l’âme.
Je suis un être sans vraiment l’être…
J’ai une âme mais sans vraiment d’état d’âme…
Des yeux bleus, un cœur amoureux du ciel monotone qui me chantonne sans vergogne les passions de cet homme, un sombre soir d’automne…
Je suis une personne, comme toi, qui ne connais personne.
Je suis une fille qui brille et qui chante à l’aurores car dehors, l’espoir existe encore…
Je suis un être, le seul qui fait tout pour ne pas l’être…
La vie est tellement éphémère, je chante pour la mer car elle, elle restera toujours fière, de me voir sur la terre.
Ici, la pièce est morte et vive à la fois…
La porte claque encore une fois et je lève les yeux pour la première fois depuis que j’ai entendu tes pas derrière moi…
« La mort c’est mise au lit »… c’est ce que tu m’as dis lorsque tu as croisé, au hasard, mon regard vidé d’espoir et seul dans le noir. »